Publié dans Politique

Insécurité aux 67 Ha - Des bandits armés sévissent dans les transports en commun

Publié le lundi, 17 juillet 2023

Ils sont équipés de sabre et sèment la terreur dans les taxis-be. Cette situation inquiétante se produit à un arrêt de bus aux 67Ha. Mais la Police n'est pas les bras croisés. Avant-hier soir, certains de ses éléments en tenue civile, et ayant patrouillé le secteur, ont tendu un guet-apens aux trois malfaiteurs. Les faits et gestes de ces derniers, qui ont épié les usagers de taxis-be à l'arrêt dit « ravitoto », ont éveillé le soupçon de cette patrouille de Police. 

Lorsque cette dernière s'est approchée, les trois suspects ont détalé comme des lapins. C'était dans ces circonstances qu'un grand sabre est sorti accidentellement des vêtements de l'un des fugitifs.

Et malgré leur tentative de s'échapper, ces derniers n'ont pas pu aller plus loin et s'étaient fait prendre sur place. L'enquête a révélé que, non seulement ces trois larrons ont sévi depuis longtemps à cet endroit. Mais ce sont aussi des récidivistes, qui prennent une sinistre habitude de menacer les passagers des taxis-be avec leurs sabres pour voler leurs portables ou portefeuilles. 

L'enquête de la Police ne va pas en rester là car des complices seraient encore en cavale.

 

F.R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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